Pour évaluer la perméabilité à l’air d’un bâtiment, il est nécessaire de l’effectuer qui permet de déterminer la valeur du débit de fuite qui traverse l’enveloppe en ayant placé la construction sous un écart de pression donné positif, la surpression ou négatif, la dépression. Dans la réglementation thermique, on définit la valeur cible pour la perméabilité à l’air d’un bâtiment. Le débit de fuite est divisé par la surface intérieure sous une dépression. Dans le cadre de la RT 2012 ou de la RE2020, il est essentiel de traiter la perméabilité à l’air des bâtiments destinés à l’habitation. Ce traitement peut être justifié par une mesure ou par une démarche certifiée de qualité de l’étanchéité à l’air du bâtiment.
Perméabilité à l’air d’un bâtiment : Mesure obligatoire selon les normes règlementaire
La gestion de la qualité de l’air pendant un projet de construction dans la perméabilité à l’air d’un bâtiment implique plusieurs étapes, souvent négligées ou non respectées, ce qui peut être catastrophique pour la validation de l’achèvement du projet. Cela inclut une réunion de sensibilisation pour le constructeur, les sous-traitants, le thermomètre et l’architecte, ainsi qu’une réflexion globale pour cibler toutes les parties sensibles. Des tests intermédiaires sont effectués lorsqu’une colonne ou une ramification horizontale est frottée. Les tests finaux sont effectués quelques semaines avant la livraison du projet pour s’assurer que des actions correctives potentielles soient mises en œuvre. Un test de perméabilité à l’air d’un bâtiment du réseau implique l’obturation des orifices de ventilation, l’installation de l’équipement de mesure, la définition des paramètres essentiels, et la rédaction d’un rapport d’intervention avec des corrections détaillées et possibles.
Perméabilité à l’air d’un bâtiment : Norme réglementaire et exigences légales
Il est impossible de valider la mesure de perméabilité à l’air d’un bâtiment d’un réseau de ventilation si elle n’est effectuée par un opérateur autorisé par le ministère chargé de la construction, connu sous le nom d’opérateur. Selon l’arrêté, il est nécessaire de la réaliser en respectant le fascicule documentaire et les normes qui lui sont associées. Malgré le fait que la mesure de la perméabilité à l’air d’un bâtiment soit la méthode la plus fréquemment utilisée pour vérifier les exigences, la réglementation autorise également la mise en œuvre d’un suivi de démarche qualité, qui doit être approuvé par un organisme certificateur accrédité et conventionné avec le ministère chargé de la construction.
Perméabilité à l’air d’un bâtiment : Démarche qualité pour une performance énergétique
La RT2012 impose la mesure de la qualité de l’air pour les bâtiments résidentiels et les maisons. Les réglementations sont généralement prises à la fin du processus de construction, mais une approche qualité de perméabilité à l’air d’un bâtiment peut être adoptée sous la supervision d’une organisation accréditée. Cette approche peut également être appliquée à la qualité de l’air dans les réseaux aérodynamiques. Un guide pédagogique qui a été élaboré pour faciliter ce processus. Les maisons individuelles ont atteint un score de qualité de l’air après une démarche qualité. Le candidat doit passer une commission au moins deux fois avant de valider son approche qualité de la perméabilité à l’air d’un bâtiment.
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